Google a été amené à s’opposer à la censure de ses moteurs de moteurs en Chine. Pas de le but de s’aliéner le marché chinois, car il dispose d’un immeuble de 10 étages à Beijing avec des équipes de Recherche et de développement. Mais ce libéralisme des échanges, exigé par une productivité toujours plus performante, ont amenés les U.S.A à former des ingénieurs chinois à leurs technologies les plus sensibles. Ces derniers, en utilisant internet ont pu déclencher une cyberguerre entre les deux pays. Selon Daily Beart, la Chine a formé 30.000 Cyber espions et 150.000 experts qui ont cartographiés les réseaux militaires et gouvernementaux américains.
Radio Canada affirme que, cela n’a déclenché aucune rupture entre les deux pays, juste des rétorsions ciblées. Google devait lancer ces jours-ci deux minis téléphones cellulaires en Chine utilisant le système de navigation Androïd qui devaient être fabriqués par Motorola et Samsung. Mais comme des dissidents Chinois ont vu leur compte gmail ainsi que leurs demandes de renseignements stratégiques via les moteurs de recherche bloqués par les autorités chinoises, Google les leur a ouverts, notamment pour les évènements concernant le Dalaï Lama et la place Tiananmen.
Google peut se le permettre car son moteur de recherche représente 67% des recherches Web soit 87,809 milliards d’internautes qui font en moyenne 75 requêtes par mois (Source Cabinet Combstore).
Mais l’élite chinoise affirme qu’elle n’a plus besoin des Etats-Unis.
A Copenhague les Chinois ont montré du dédain envers les Américains. Le premier ministre chinois Wen Jiabao s’est permis de pointer le Président américain du doigt tout en tenant envers lui des propos désobligeants. Il paraissait avoir perdu tout contrôle. Bien qu’il ait demandé à l’interprète de ne pas les traduire. Jamais auparavant, les Chinois si soucieux du Protocole se seraient permis une telle attitude, surtout quelqu’un du grade de Wen envers le Président d’un pays comme les Etats-Unis.
Les temps changent…