Le Chili décompte encore les morts du séisme et du tsunami qui l’ont frappé en fin février dernier. Car 3 secousses très fortes ont suivi, le 5 mars. Celles-ci ont enlevé tout espoir de tretrouver sous les gravâts ceux qu'on essayait déjà d'en extirper. Les bâtiments encore debouts se sont éffondrés, souvent sur les secouristes. Ce qui a encore rendu plus difficile le dénombrement exact des morts. Et le nombre de disparus avoisinerait le millier.
Ce flou serait du à l’hésitation de la Présidente à faire appel aux militaires, qui sont intervenus plusieurs jours après le tremblement de terre. Car ayant connu leur dictature au temps du Général Pinochet, elle a été réticente à les laisser maîtres de la rue.
De plus une imprécision d’évaluation de l’épicentre du séisme, par la marine, a empêché toute mesure préventive. Car la force du tsunami a surpris tout le monde ; puisqu'on attendait une secousse sismique sur terre, alors qu'elle venait de la mer.
La communauté internationale donnera au Chili 10 millions de dollars pour cette catastrophe.
Mais il semblerait que l’économie du pays qui était en plein essor doive prendre au moins 4 ans avant de pouvoir se relever pleinement.