20 mai 2010 4 20 /05 /mai /2010 14:31

 

 

 

 

Logo Galerie Blumann Copyright Galerie Blumann

 

 

 

Tous les passionnés d’Art ; exposants potentiels, vendeurs habituels ou occasionnels, ou encore acheteurs, ou même simple badauds, y retrouveront un ensemble qui leur présentera tous les courants actuels de l’Art.  

 

 

 « La Galerie Blumann est un lieu de vie et d’interactivité entre les artistes et les amateurs d’art, qui met en avant l’art sous toutes ses formes : photographie, sculpture et comics. Cette nouvelle adresse révèle des talents français et européens peu connus du public français.

 

 

Née d’une véritable passion pour l’art partagée par Chantal Blumann avec sa fille Géraldine Joulie, la galerie Blumann ouvre ses portes en juillet 2009, sous l’impulsion dynamique de ces passionnées qui affirment fermement leur volonté de « réveiller la place des Vosges » et de bousculer l’univers des galeristes parisiens. Le concept fondateur  « de l’art, des photos numérotées et des pièces uniques  accessibles au plus grand nombre ! » trouve un écho immédiat auprès des amateurs d’art. La galerie expose des œuvres de grands artistes contemporains comme Yves Klein, Serge Poliakoff, Hervé Di Rosa, Robert Combas, Arman, ou encore Roy Lichtenstein, aux côtés de celles de jeunes talents qui se forgent une notoriété sur le marché de l’art. Profanes ou initiés, amateurs ou collectionneurs, les visiteurs découvrent un art contemporain accessible, où la sensibilité est privilégiée.

 

   

Aux côtés des expositions permanentes, la galerie accueille des expositions temporaires, collectives ou individuelles, en raison de 6 à 9 expositions par an, comme la récente « Urban Tel Aviv » de Karine Perez et Michel Lévy. Ou encore des créations en édition unique ou limitée. Dans le courant du mois de mai, les visiteurs pourront découvrir une passionnante exposition collective de talentueuses photographes contemporaines ».

 

 

«  J’œuvre à une désacralisation raisonnée de l’art avec une approche plus personnelle et désinhibée de cet univers, pour favoriser le contact spontané et immédiat avec les œuvres. La mission d’une galerie parisienne d’aujourd’hui est  de rendre l’art accessible au plus grand nombre, de faire émerger de nouveaux talents  et de proposer des photos numérotées à des prix justes » clame Chantal Blumann, fondatrice de la Galerie Blumann

 

 

En exposition permanente

 

 

 

La Photographie:

 

 

 

Vanessa Vercel Coyright Galerie Blumann

 

"Envol" Vanessa  Vercel, 95 X 130 cm 1300€

  L'artiste y joue avec les ombres et cristallise la spontanéité

 

 

 Diane Von Schoen Coyright Galerie Blumann

  " Aurore" Diane Von Schoen 60 X 90 cm 1350€

Avec des clichés très épurés où seule l'émotion est palpable.

 

 

 

Hélène Desmazières Copyright Galerie Blumann

 "Percuter l'immobile" Hélène Desmazières  80 X 100 cm 2000€ 

Un langage formel abstrait allié à une description minutueuse du détail et une vision personnelle de la couleur.

 

 

 

Personnage religieux, Frédérique Callu Copyright Gallerie " Personnage religieux" Frédérique Callu 50 X 60 cm 850€

Frédérique travaille le Noir et Blanc argentique de la prise de vue au tirage final. Elle utilise des pigments naturels pour colorer ses photos, qu'elle redessine à la main.

 

 

 

Nikon, ni soumise, Fréderique Callu Copyright Gallerie Blu " Nikon, ni soumise" Frédérique Callu 80 X 80 cm 1200€

Frédérique y démontre encore sa maîtrise de l'argentique

 

 

 

Mais également des sculptures

 

 

Aztek debout noir, Yvon Cochery Copyright Gallerie Blumann " Aztek debout noir", signé, numéroté,  Yvon Cochery, 1 m50  7000€

Les sculptures réalisées en résine, sont de couleurs accrocheuses et de formes harmonieuses.

 

 Carlin noir, face, Ottmar Horl Copyright Galerie Blumann

 " Carlin" en différentes couleurs, Ottmar Hörl 50 cm  180 €

Horl est à la fois sculpteur et designer.

 

 

 

Sans oublier les peintures, les collages...

 

 

 Galerie Blumann  4, Place des Vosges - 75004 Paris  lagalerieblumann@gmail.com 

 

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20 mai 2010 4 20 /05 /mai /2010 13:10

 

Chronique des nuits chimiques

Témoignage  :

 

"Le Sound. Boîte de nuit où se retrouvent, pendant le week-end, des êtres frénétiques, shootés, cocaïnés, ecstasyés. Des nuits placées sous le signe de la fête, de la musique qui s’empare de vous, des rencontres désinhibées. L’oubli de la réalité aussi. Celle qui est subie du lundi au vendredi, à travers les obligations professionnelles, familiales. Une réalité avec laquelle on voudrait parfois prendre ses distances. Le Sound. Monde parallèle, à l’envers, où se dévoilent, au fil du temps et des addictions, des hommes et des femmes au bord du gouffre, prisonniers d’un milieu tissé d’illusions. Un Wonderland que Jérôme a fréquenté, dans lequel il s’est égaré, dont il a mis longtemps à s’échapper. Une expérience aux confins de l’annihilation qu’il partage dans un témoignage à vif. 

 

Il y avait Jérôme à la ville, Téki au Sound. La distinction allait peu à peu se distordre pour voir Téki prendre le dessus, dicter sa soif de drogue et parasiter la vie de Jérôme. Téki, c’est cette défense que l’on interpose entre soi et le monde, qui dissimule notre mal-être. Téki, ce n’est pas le mal ; ce sont nos peurs qui se teintent d’apparences séduisantes. Une terreur existentielle que Jérôme exorcise à travers l’écriture de ce récit qui offre, peut-être mieux que les discours moralisateurs, un panorama des dangers – pas seulement physiques, mais aussi psychologiques – encourus par ceux qui croient tout contrôler".  

 

(Livre de 98 pages, 13€ en format papier Fnac, Amazon, disponible en numérique)

 

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19 mai 2010 3 19 /05 /mai /2010 14:28

 

Sybil Aubin logo Sybille Aubin img51

 

 

 

Son exposition «  Enfantine, ballades en mère », qui se déroule jusqu’au 29 mai 2010, au Centre Hospitalier René Dubos à Pontoise, réunit 140 peintures et encres; dont 90 huiles sur lin et 50 encres sur papier.

 Elle y  immortalise la joie d’être parents.

 

Ses toiles sont subdivisées en 13 thèmes. Parmi ceux-ci :

 

La Grossesse :

 

 

Dans l'attente de la naissance, Copyright Sybil Aubin P1180

 

 

 

 

Le peau à peau : 

 

 

Naissance, Mère et enfant, Copyrigh t Sybil Aubinimage HP

 

 

 

Papa et bébé :

 

 

 

Père et bébé, Copyright Sybil Aubin P1180005

 

 

Ces œuvres sont le résultat  d’une année et demie de collaboration avec l’Association PANAMA, qui défend le concept de «  la Maison de Naissance », et le Réseau Périnatal du Val d’Oise, avec  la contribution de nombreuses familles et des professionnels de la santé. C’est pour cette raison que l’exposition se déroule à la Maison de Naissance de l’hôpital de Pontoise .

 

L’ensemble des tableaux présentés ont nécessité deux ans de travail.

 

Pour faire honneur à cette exposition, qui se tiendra pendant la semaine de la SMAR (semaine mondiale de l’accouchement respecté), plusieurs auteurs de l’Association «  Les mots migrateurs » ont accompagné les tableaux de leur choix de textes spécialement rédigés pour cette occasion. L’ensemble de ceux-ci sont réunis dans un livre illustré.

 

Le vernissage qui a eu lieu le 18 mai à 18 h ; réunissant les officiels et la Presse, a été suivi par une Conférence du Docteur Michel Odent, Obstétricien, ayant pour thème «  Peines et joies de l’accouchement ». Le vernissage du 29 mai réunira les 600 parents qui ont participé à l’élaboration de l’ensemble des œuvres.

 

 

Exposition de peinture de Sybil Aubin
Du 17 au 29 mai 2010 de 9h à 17h, au centre hospitalier René Dubos de Pontoise

– Bâtiment femme-enfant 4ème étage. 6, avenue de l’Ile de France BP 79-Pontoise 95.000.

 

sybil@neuf.fr

 

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15 mai 2010 6 15 /05 /mai /2010 13:23

 

Alain Galaup ST

Récif 14 – 2004 – 110x110 cm – acrylique sur toile copyright ©  Alain_Galaup

 

 

 Alain Galaup, originaire du Sud-ouest est actuellement installé à Metz.

 

 

 Le peintre, par une reconnaissance internationale de ses œuvres est souvent sollicité pour des expositions hors de France.  

 

 

 Ses toiles, peintes avec plaisir, ont souvent une histoire, qui s'y appose. Chacune de ses créations vient d’une envie de représentation d’un fait, d’un évènement, ou d’un ressenti.

 

Alors depuis 20 ans, il  nous invite au spectacle de ses coups de cœur.

 

 

 

Une des dernières toiles  peinte est  «LORENZO»:

 

 

lorenzoLORENZO, 130x97 cm – 2010 – acrylique sur toile  Copyright ©  Alain_ Galaup

 

 

 

Et comme toujours, il nous narre l’histoire qui l’a inspirée :

 

 

 

« LORENZO 

 

 

Pris par la patrouille juste après minuit Lorenzo ne fait aucune difficulté pour avouer sa chrétienté. On le place dans la geôle commune de la maison d’armes. Les soldats s’amusent un peu avec lui, surtout au moment de la relève où ils viennent lui labourer les flancs à la pointe de lance :

 

- De la bonne viande saignante ces chrétiens.
On rigole bien, il y en a même un qui urine sur un mur et pète un grand coup au milieu des pauvres bougres en train de cuver. Lorenzo prie. Le sous off gueule.
- Ne le tuez pas maintenant on doit le présenter au Gouverneur!


Vers midi le Gouverneur arrive dans le prétoire accompagné de son mignon. On lui présente Lorenzo.

- On me dit que tu es chrétien.
- Jésus est mon dieu.
- Quel est son pouvoir ?
- L’amour est sa force.

- Explique-moi çà.

- Oui l’amour pour ceux qui n’ont rien, qui ne sont rien. Ils seront les premiers au royaume des cieux.

- C’est un vaste tissu d’âneries, ton dieu qui a un royaume n’a pu échapper aux hommes.
- il s’est incarné pour nous racheter par son sacrifice.

- Dis-moi chrétien, tes affaires ne semblent pas très bien marcher malgré ce dieu d’amour.
- Au contraire beau seigneur, ce que tu envisages de faire de moi renforcera encore son pouvoir sur les âmes.

- Comment peux-tu en être certain ?

- A cause du feu intérieur qui dévore mon cœur.
- Le feu dis-tu, hé bien demain après midi on allumera le contre feu.


A ces mots le mignon éclate d’un rire gras et échange un long regard enamouré avec son amant. Déjà on amène Lorenzo et les ordres fusent pour qu’un bûcher soit dressé, les crieurs courent la ville, dans les tavernes les hommes braillent à la gloire de Rome, le vin coule et des filles dansent sur les tables. On déguste à l’avance cette séance de barbecue, d’estrapade et de décapitation. Ah la douce époque où l’on ignore encore le bombardement depuis 10 000 mètres. Lorenzo achève de convertir ses futurs compagnons de supplice et ils partent en chantant à la mort.
A l’heure dite le Gouverneur parait un instant à la fenêtre du palais et d’un geste méprisant ordonne d’expédier. Puis il disparaît.

 

 
Commencent alors les cris et lamentations des malheureux au milieu des cris de haine de la foule. Au milieu de ce délire Lorenzo que l’on a commencé à griller déclare :
«Je suis assez rôti de ce côté. Faites moi rôtir l’autre »


Au même instant le mignon se retourne et réclame aussi que l’on s’occupe de l’autre face. Un étrange concert de cris, hurlements et soupirs s’envole vers les nuages. Et les nuages parlent entre eux :
- Quel est ce bruit ?
- C’est le fracas des hommes, il parait que là haut un dieu reconnait les siens.


Et les nuages s’effilochent dans le bleu. Les nuages sont comme les martyres, ils bossent pour l’éternité.

 

 Lorenzo fut martyrisé en 258 à Rome. En 1557, soit mille deux cent quatre vingt dix neuf ans plus tard (1299 ans !) Philippe II d’Espagne ordonna la construction de l’Escurial en forme de gril en l’honneur de Lorenzo. On ne sait jamais ce que les puissants sont capables de faire avec des martyres. Quant à moi je me suis juste demandé s’il était encore possible de faire un tableau d’église ».

 

 

 

Texte d’Alain Galaup sur :

 

 

 

http://alaingalaup.blogspot.com/

 

  

21GRAMMES collection publique vignette

21 grammes-2010-162 X 114 cm

 

 

Cette toile, inspirée par la catastrophe d'Haiti a été acquise par le Musée Albert Marzelles de Marmande, où le peintre exposait du 3 au 30 avril 2010.

 

 

Articles précédents :

 

 

http://www.actu-fraiche.com/article-culture-haiti-colere-d-un-peintre-44159322.html

 

 

 

http://www.punch-frappe.com/article-33414142.html

 

 

 

http://www.punch-frappe.com/article-34508632.html

 

 

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11 mai 2010 2 11 /05 /mai /2010 21:25

 

Versailles...par Joelle Aubry

 

 

 

 

Le portrait de l’héroïne, brossé en quelques mots :

 

 

« Emmeline s’apparentait, avec sa santé solide, son teint brûlé de bohémienne et sa mise toujours dépenaillée, aux petites paysannes du pays. Dehors du point du jour au crépuscule, elle connaissait d’une borne à l’autre la terre de ses ancêtres et rien n’aurait pu la limiter, ni les remontrances de sa mère, ni les sanctions de son père qui, au fond, se sentait fier d’une pareille personnalité (…)».

 

 

Roman :

 

 

Emmeline de Mars la Tour, jeune fille issue d’une famille noble de Lorraine, se retrouve, dès sa sortie du couvent, propulsée à la Cour de Louis XVI, à l’époque où celui-ci porte assistance aux insurgeants américains en révolte contre l’empire britannique. Mariée à un homme influent, elle est le témoin privilégié des événementsqui vont conduire à la Révolution. Sous couvert d’une charge à la Cour, elle sera chargée par le Comte de Vergennes, conseiller du roi de renseigner la police royale sur les menées révolutionnaires de la Franc-maçonnerie.  

 

 

Un roman qui séduit par sa simplicité et où on découvre une autre vision de la Révolution Française. Le réalisme des personnages nous immerge dans une époque,  qui nous révèle le rôle politique et révolutionnaire des Franc-maçons.  

 

 

L’auteur

 

Joëlle Aubry a été Journaliste pendant de nombreuses années, notamment à la radio. Professionnelle en communication, elle met actuellement son expertise au service des entreprises. Après avoir publié « Paris… Le temps des Picpouilles », « Versailles… La fin des privilèges », est son second roman. (Prix 26 €).

 

 

 

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11 mai 2010 2 11 /05 /mai /2010 20:48

 

La pinacothèque de Paris sigle

 

 

Ce ne sont pas moins de 253 œuvres qui seront présentées pour la première fois en France.

 

En voici quelques unes, pour lesquelles nous avons pu obtenir des photos:

 

 

 

 

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Ornement frontal

 

Culture Mochica (100 - 750 apr. J.-C.)

 

Intermédiaire ancien

 

Métal Laminé/Repoussé/Ajouré/Ciselé 224 x 1 x 256 mm

 

Musée Larco, Lima (ML 100770)© Photo : Joaquín Rubio Roach

Ornement frontal de coiffe en alliage ternaire or-argent-cuivre représentant une tête de félin avec coiffe en demi-lune, entouré deux oiseaux baissant la tête. [P.C.]

 

 

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Pectoral

 

Zone de Lambayeque

  

Intermédiaire récent (1000 - 1400 apr. J.-C.)

 

MétalLaminé/Découpé/Cousu 450 x 455 mm

 

Musée archéologique national Brüning, Lambayeque (MANB-00063)© Photo : Joaquín Rubio Roach

 

Pectoral constitué de quatre cent dix plaques carrées d’or laminé mesurant 15 x 15 mm et 32 plaques circulaires avec perforation centrale d’environ 23 mm de diamètre. Toutes présentent des petits trous permettant de les coudre sur un vêtement. L’ensemble constitue une camisole à manches courtes et col carré. [L.M.V.]

 

 

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Pectoral

  

Culture Mochica (100 - 750 apr. J.-C.)

  

Intermédiaire ancien

  

Coquillage 260 x 510 x 8 mm

  

Musée Larco, Lima (ML 200086) © Photo : Joaquín Rubio Roach

 

 Pectoral en perles cylindriques de Spondylus (mullu). [L.M.V.]

 

 

 

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Tumi (couteau rituel)

  

Culture Sicán (750 - 1375 apr. J.-C.)

  

Intermédiaire récent

  

Métal Laminé/Gravé 320 x 137 mm

 

 Musées «Or du Pérou» - «Armas del Mundo» - Fondation Miguel Mujica Gallo, Lima, Lima (M-00067) © Photo : Manuel Figari Rouillon

 

 Couteau rituel en or utilisé pour le sacrifice d’êtres humains et d’animaux, portant le motif d’un personnage mythique entouré par des vagues. . [L.M.V]

 

 

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Gants

  

Culture Sicán (750 - 1375 apr. J.-C.)

  

Intermédiaire récent

 

Métal Laminé/Repoussé/Embouti/Assemblage mécanique  550 x 94 mm

 

Musées « Or du Pérou »-« Armas del Mundo » - Fondation Miguel Mujica Gallo, Lima (M-1571) © Photo : Manuel Figari Rouillon

 

Gant en or et argent pour bras, main et avant-bras gauche. Confectionné à partir de feuilles assemblées au moyen de crochets. Deux ongles ont été conservés. L’avant-bras présente un décor de cinq bandes verticales modelées par repoussage ; sur deux des bandes latérales, on distingue six figures anthropomorphes stylisées entourées de vagues et d’oiseaux marins. La bande centrale de gauche présente un décor de vagues stylisées, et celle de droite une rangée de six oiseaux. Le dos de la main est orné de trois sujets anthropomorphes debout tandis que la partie inférieure présente des cercles formés par emboutissage. [L.M.V.]

 

 

   

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Ornement frontal

 

Culture Chimu (1200 -1470 apr. J.-C.)

 

Intermédiaire récent

 

Métal Laminé/Repoussé/Embouti/Incrusté 250 x 55 x 300 mm

 

Musée Larco, Lima (ML100006) © Photo : Joaquín Rubio Roach

 

Ornement frontal en or avec tête de félin orné de plumes, panache, pendants triangulaires, nez et bec d’oiseau, ainsi que deux singes dans la partie supérieure. Les dessins réalisés par repoussage sont crenelés, avec volutes et têtes de serpents bicéphales sur la partie inférieure. [P.C.]

 

Notices, initiales

 

 [P.C.] Paloma Carcedo

 

[L.M.V.] Luisa Maria Vetter

 

http://essentielblog.pinacotheque.com/

 

 

 Les  origines et les mystères de l’or des Incas seront enfin dévoilés au grand public.

 

 

Les collections rassemblées viennent des plus prestigieux Musées péruviens.

 

 

Ce sont des trésors inédits des plus brillantes civilisations précolombiennes, provenant de cultures andines millénaires, qui seront tous visibles, en une fois,  à Paris.

 

 

 

 La Pinacothèque de Paris est ouverte tous les jours de 10h30 à 18h.

Fermeture de la billetterie à 17h15.

Le mercredi 14 juillet 2010, ouverture de 14h à 18h.

Nocturne tous les mercredis jusqu’à 21h (fermeture de la billetterie à 20h15).

 

 

Articles Précédents:

 

Culture : Edvard Munch à la Pinacothèque de Paris ou la rançon d’un succès

 

  Culture : Edvard Munch en visite à la Pinacothèque de Paris

 

Culture : La Ruée vers l’Art à la Pinacothèque de Paris

 

 

 

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11 mai 2010 2 11 /05 /mai /2010 20:23

 

 

 photo tableau le cri Edvard Munch

  

 

 

L’exposition « Edvard Munch ou l’ « anti-Cri » présentée par la Pinacothèque de Paris sera prolongée jusqu’au 8 août 2010.

 

 

Depuis 2 mois, en effet, 180.000 visiteurs viennent admirer les chefs d’œuvre d’un des peintres les plus mythiques, mais aussi les plus mystérieux, de la fin du XIXème et du début du XXème siècle.  Toutes ses œuvres sont présentées au public pour la  première fois en France.

 

 

Le succès du concept de l’exposition « Edvard Munch ou l’ « anti-Cri » et la qualité des œuvres exposées ont suscité de nombreuses demandes de reprises à l’étranger. Ainsi, la Pinacothèque de Paris a décidé de travailler, dans un premier temps, avec la Kunsthal de Rotterdam, en vue de l' aider à préparer son exposition, qui se tiendra du 18 septembre 2010 au 21 février 2011.

 

 

Devant  son succès croissant, draînant un nombre de plus en plus important de visiteurs, grace à la richesse et l’originalité de ses collections, allant de Roy Lichtenstein à Edvard Munch, en passant par les Guerriers de Xi’An et les peintres hollandais du XVIIe siècle, la Pinacothèque de Paris a décidé de s’agrandir, pour exposer également des collections permanentes.

 

 

Lors de la Conférence de Presse du 5 mai 2010, son Directeur, Marc Fratellini nous a informé que les nouveaux locaux seront proches de ceux de la Rue de la Madeleine, dans un immeuble se situant à l’angle des Rue de Sèze et de Vignon.

 

 

La Pinacothèque disposera donc bientôt, en plus  des 2000 m2 actuels, de 3000 m2 supplémentaires. Cette extension est prévue pour janvier 2011. Elle pourra accueillir ainsi de nombreuses œuvres privées et variées ; prenant à contre-pied les Musées nationaux qui ont des collections beaucoup plus conventionnelles. Les œuvres qui y seront montrées feront découvrir des époques et des lieux différents ; carte du Monde de l’Art présent et passé.

 

 

Le prêt des tableaux ne sera pas rémunéré, mais la Pinacothèque, créera dans un même temps, un atelier de restauration et un laboratoire d’analyses scientifiques pour les différentes œuvres empruntées ; assurant ainsi aux propriétaires un parfait entretien ainsi qu’une garantie de leur authenticité.

 

 

La Pinacothèque de Paris est ouverte tous les jours de 10h30 à 18h.

Fermeture de la billetterie à 17h15.

Le mercredi 14 juillet 2010, ouverture de 14h à 18h.

Nocturne tous les mercredis jusqu’à 21h (fermeture de la billetterie à 20h15).

 

Articles Précedents:

 

Culture : Emporter un peu d’Edvard Munch de la Pinacothèque de Paris

 

Culture : Edvard Munch en visite à la Pinacothèque de Paris

 

 

 

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3 mai 2010 1 03 /05 /mai /2010 15:36

 

 

  Daemon-copie-1 

 

Extrait de la 4e page :

 

« Matthew  Sobol, jeune PDG de CyberStorm Entertainment, une Société  de conception de jeux vidéos cultes, vient d’être emporté par un cancer. Mais avant de mourir, il a conçu son chef d’œuvre : un «  démon » particulièrement dangereux qui s’infiltre dans tous les réseaux informatiques du monde, réalise des transferts bancaires, recrute des personnes pour le servir et…tue. Chaque vague d’évènements, dont la nouvelle se propage à la vitesse de la lumière via internet, engendre de nouvelles horreurs relatées sur la toile (…) ».

 

 

 Daniel Suarez, Consultant informatique, qui vit en Californie, signe avec « Daemon », son premier roman, un thriller si étonnant de réalisme que l’on ne peut s’empêcher de frissonner. 

 

 

Ce roman, d’abord publié à compte d’auteur, voit ensuite ses Droits rachetés par une importante maison d’édition américaine. Un film est actuellement en cours de production, par les réalisateurs de « Men in Black », « Gladiator » et de « Minority Report ».

 

 

 Billy  O’Brien, directeur de cyber-sécurité à la Maison Blanche, confirme la  crédibilité d’une pareille catastrophe :

 

 « Lors du développement d’Internet, nos experts ont longtemps eu peur d’un scénario catastrophe. «  Daemon » est beaucoup plus terrifiant ».

 

Un extrait du roman :

 

«  A force d’appuyer sur son cou, l’homme s’étranglait presque. Pourtant la vie était si belle cinq minutes plus tôt. Cela au moins il s’en souvenait. Il avait réussi à régler ses dernières dettes. Enfin ! (…) Ce fut donc avec un esprit froid et détaché qu’il prit conscience de la situation. Matthew Sobol est mort annonçait la dépêche. Soudain, toutes les pièces du puzzle s’emboîtèrent. Le jeu de Sobol avait enfin un sens. C’était franchement splendide(…) ».

 

 

 

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13 avril 2010 2 13 /04 /avril /2010 21:58

 

l'envol du phoenix

 

Après «  Le chant de l’esprit » où Mary Summer Rain, descendante de natifs américains, prend conscience de ses nouveaux pouvoirs et rencontre son guide spirituel, l’aveugle No-Eyes, vient ensuite  «  Le marcheur du rêve » où elle apprend à les maîtriser, puis de « Fantômes en marche » où elle remplit la mission qui lui a été confiée.

 

Dans «  L’envol du Phénix », dont le récit se situe entre 1982 et 1983, il y a une description des bouleversements à venir:

 

 

«  La terre est instable par nature. Elle a des frémissements, des mouvements, des tensions internes qui s’accumulent. Nous allons assister au déchainement de toutes ces tensions que la terre cherchera à libérer par tous les moyens (…) ».

 

Editions.sum@wanadoo.fr

 

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1 avril 2010 4 01 /04 /avril /2010 21:26

 

 

 

Hésitation

 

_ Twilight III_

 

 

Twilight III «  Hésitation », qui sortira en France le 7 juillet 2010, fait déjà le buzz, car Isabella devra choisir entre les siens et Edward, mais également entre deux amours aussi surnaturels l'un que l'autre. D’autant plus que des morts suspectes dans la région de Seattle laissent présager une nouvelle menace ; obligeant les clans adverses, les Cullen et les Quileutes à se rapprocher afin de pouvoir la contrer ; alors que Victoria, qui a perdu son compagnon à cause de Bella cherche toujours à assouvir sa vengeance.

 

 

 Twilight II

  _ Twilight II_

 

 

Twilight 1

  _Twilight I_

 

 

 

 Après le premier Twilight I «  Fascination », Twilight II «  Tentation », fut tout aussi captivant. Bien que  Twilight II ait été d’une veine tout à fait différente, et plus intimiste que le premier Twilight ; l’auteur et le producteur ont évité le défit du sensationnel et de l’inédit. Le second volet explicite des points effleurés dans la première partie:  comment vont s’adapter, par exemple,  Isabella et Edward à la vie quotidienne. Et surtout quel avenir pour un tel amour, si contre nature. Nous découvrons également qu’une troisième espèce, autre que les vampires et les hommes se partage la terre. Mais, il y a une certaine fluidité dans les rebondissements, comme si  tout  coulait de source.

 

Et nous pensons que Twilight III va également poursuivre et approfondir des points qui n’ont été qu'amorcés dans Twilight I et II.

 

Cette série est issue des romans de Stéphanie Meyer, et inspiré d’un rêve inachevé. En effet, en se réveillant ce jour-là, elle avait voulu savoir ce qui allait se passer après. Le premier jour, elle écrivit 10 pages. Et après avoir terminé, elle fut stupéfaite de constater qu’elle avait rédigé tout un livre. Trois autres tomes ont suivi, qui ont été tous des best-sellers.    

                       

 Le producteur, Greg Mooradian, chez Maverick Films était à la recherche de la perle rare. Il a lu Fascination avant que le manuscrit ne soit publié et a pressenti son succès.

   

 L’histoire était, il est vrai, assez captivante :

 

 Isabella  Swan, 17 ans décide d’habiter chez son père, afin de laisser plus de liberté à sa mère qui vit une grande histoire d’amour. Elle arrive à Forks, petite ville pluvieuse et sans attrait. Or, au Lycée un   élève montre à son égard une répulsion immédiate. Vexée et intriguée, elle découvre qu’il fait partie d’une étrange fratrie de deux filles et de trois garçons. Il s’appelle Edward Cullen. Leur relation ou se mêle attraction et répulsion va rapidement évoluer de façon sensuelle mais dangereuse. Car  Isabella ne pourra être qu’une proie. Mais lorsqu’elle comprend qu’Edward est un vampire, il est déjà trop tard.

 

Le casting était par contre un défi : 

 

Mais il a été relevé  par la comédienne Kristen Stewart, dans le rôle de Bella, grâce à  son expérience mais aussi la fragilité qui l’avaient déjà fait remarquer dans Panic Room, Into the Wild  et La Gorge du diable.

                                                                                                                                      

Robert  Pattinson, par son interprétation magistrale de Cédric Diggory dans  la saga d’Harry Potter était tout désigné pour le rôle d’Edward. En outre, après un casting exigeant, il avait la beauté, l’intelligence, et le mystère,  indispensables à la crédibilité de l’interprétation.                                                                 

 

 

Ces trois thrillers, qui se cristallisent d’avantage sur l’histoire d’amour que sur l’hémoglobine, présentent suffisamment de suspense et d’action pour tenir leur auditoire en haleine jusqu’au bout.

 

 

Chantal Sayegh-Dursus

 

  

 

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