Voici celles qui ont retenu tout particulièrement mon attention :

Des scientifiques américains ont mis au point des biomarqueurs capables de découvrir lors d’une analyse sanguine la présence d’une tumeur cancéreuse. Ces avancées médicales ont été présentées lors de la Conférence de « l’Association américaine pour les progrès de la Science » qui s’est tenue à  San Diégo. 
Les fruits de cette recherche seront publiés dans la revue «  Science Translational Medecine » du 24 février 2010.

Un remède miracle pour les femmes de plus de 50 ans : Un implant en diffusant des hormones de croissance à l’intérieur des os soignerait l’ostéoarthrite. Il permettrait la reconstitution des os du cartilage, en faisant appel aux cellules souches de l’organisme. Cette avancée majeure à été développée à l’Université de Strasbourg et testée sur des animaux âgés.

La marque Asics a mis au point des baskets qui s’adaptent au taux d’œstrogène des femmes. Elles épousent la forme du pied comme un airbag, en fonction du taux plus ou moins élevé d’œstrogènes, qui fait que  la voûte plantaire se relève ou s’affaisse,  selon les périodes du mois : Une sorte d’amortisseur permanent. En outre, cette innovation, destinée aux sportives, a un talon plus étroit, tenant compte de la morphologie du pied féminin. Elle s’appelle l’Asics Lady Gel Kayano 16. Avec, bien sur, un prix nettement plus élevé que le modèle de base.

 

Mais il existait déjà, dès septembre 2008, un modèle de chaussures de sport Asics Gel Cardio pour les personnes diabétiques.
Il est conçu pour éviter la formation d’ampoules ainsi que toute autre blessure, en évitant les frottements et l’échauffement du pied contre le tissu ; en intégrant une tige en cuir huilé sans couture et un chausson intégral pour le confort, avec couture plates traitées au charbon de bambou.   

Il existe des modèles homme ou femme. Le prix 130 €.  

Hier nous avions publié cet article :

Ce soir Apple sort une tablette internet tactile, sorte d’hybride entre le mini-ordinateur et le Smartphone ; ardoise numérique de 10 pouces (25 cm). Elle sera présentée lors d'une conférence de presse qui se tiendra dans la soirée, à 19 heures [heure française].
 Prix estimé  1000 €. Elle serait disponible dès mars prochain.
Conjointement Apple présentera quelques nouveautés concernant son iPhone.

Aujourd’hui nous savons tout :

Le patron d’Apple, Steve Jobs a tout dit, tout montré :

La tablette ne s’appelle pas Islate, mais iPad. Sa taille exacte est de 9,7 pouces. Son prix 499 dollars (Version Wifi avec 16 GB de mémoire) et environ 799 dollars pour la version la plus performante. Donc des prix moins élevés que ceux annoncés. Sa sortie est prévue fin mars.

Mais qu’apporte réellement l’iPad ?

Il est vrai qu’il devance ses concurrents potentiels tels Acer ou Microsoft qui sont pour l’instant au stade d’études. Mais certains le comparent à un simple e-book  ayant  accès à des livres numérisés, avec une fonction bureautique et possédant des fonctions tactiles ; permettant d’accéder au magasin d’applications de l’iPhone (jeux, actualités, magazines, ou géolocalisation).

Mais est-il réellement très différent de l’iPhone ?

Pas vraiment à part sa taille, qui le rend plus manipulable qu’un ordinateur, même portable, lorsque l’on doit lire ses courriels, voir ses photos ou communiquer avec ses communautés.

Mais ce qui a vraiment convaincu Apple du marché potentiel de l’iPod, c’est le succès de iPodTouch [iPhone sans fonction téléphonique].           

 


Alors que les militants de l’Association « Jeudi Noir » sont sommés d’évacuer un immeuble occupé Place des Vosges, à la suite d’une décision de justice; ils opposent «  le droit au logement opposable », entériné par la Loi du 5 mars 2007.

Ce droit s’applique généralement à ceux dont les démarches pour se procurer un logement ou pour se maintenir dans un logement déjà loué n’ont pu aboutir. Les demandes se font à La Préfecture du département. Et le recours se déroule, selon les cas, devant la commission de médiation ou le tribunal administratif.  

Espace locatif de plus en plus occupé par des bureaux 

Mais dans les faits, les grands centres urbains ont un espace locatif de plus en plus occupé par des bureaux, à cause  de la plus grande solvabilité des entreprises et aussi des prix plus élevés appliqués à la location de locaux administratifs.

Le particulier se voit donc proposer des  logements onéreux et exigus.  Beaucoup préfèrent donc déménager en banlieue pour une surface habitable plus importante, voir un cadre de vie plus agréable. Cependant une frange importante de la population peine à se loger, car les revenus exigés et les cautions demandées sont souvent dissuasifs. Tout est compliqué par une diminution, voir une non création de logements par les bailleurs sociaux. Ceci ne va pas en s'améliorant dans la mesure où la Caisse des Dépôts et Consignation, qui gérait les fonds générés par le livret A, a vu ces montants diminuer de façon drastique pour des raisons de drainage des fonds par les Banques pour combler leur déficit en liquidité causé par la crise des « subprimes ».  Parallèlement à cela, cette épargne populaire a  été  également sévèrement écornée par un taux de rémunération rogné des deux tiers, au profit des Banques. Donc les Livrets A se sont progressivement vidés pour des investissements ou des placements plus rentables.

Les locataires potentiels se sont donc tournés vers les logements des particuliers. Mais ceux-ci, en dépit de la TLV [Taxe sur les logements vacants] préfèrent les mettre en travaux prolongés [comme c’est le cas pour l’immeuble de la place des Vosges] au lieu de les louer. Car les procédures d’expulsion sont fort longues, deux ans en moyenne pour un particulier, contre deux mois pour une Société HLM. De plus, les sommes dues sont rarement recouvrées. 

Seule une réforme en profondeur de cette gestion HLM pourrait être un début de solution à ce problème récurrent, que stigmatisait déjà cet article de décembre 2007 :

Débutant par une dénonciation de Jean-Paul Bolufer, adjoint du Ministre du logement Christine Boutin, par le Canard Enchaîné, la gestion des « HLM de Luxe » parisiens est remise en question. Sur 100 000 logements gérés par l’office, la rotation serait très faible et même parfois quasiment inexistante. De plus l’attribution de ces logements dits sociaux serait même franchement aléatoire. La solvabilité du locataire étant souvent le seul critère valable retenu.

Jean-Paul Bolufer, qui a dû démissionner, louait, en plein 5e arrondissement, un appartement de 190 m2 depuis 1981 à 6,30 euros le m2, alors que, dans ce quartier, cette surface locative coûterait 5000 euros par mois. Une révélation pour le moins gênante au moment même où le Ministre du logement prévoyait un comité de suivi du Plan d’Action Renforcé en faveur des sans-abri (PARSA). Malgré sa démission Jean-Paul Bolufer ne désarme pas et dénonce cette gestion, tous azimuts.

Dans le même temps, un scandale encore plus flagrant a vu le jour. Des bénéficiaires de logements sociaux dont certains toucheraient des APL ont fait paraître cette annonce sur un site Internet : « Loue très bel appartement à deux pas des Champs-Élysées, de la Concorde…Montant du loyer 700 € la semaine » alors que ces logements leur sont loués pour 350 € hebdomadaires. Ces annonces concerneraient la rue de Washington, immeuble appartenant à l’OPAC (Office Public d’Aménagement et de Construction), premier bailleur social de la capitale.

Ces dérapages concerneraient 3 ou 4 des 70 appartements attribués. L’OPAC a porté plainte contre les locataires. Ceux-ci verront leur bail rompu, mais devront également payer d’importantes amendes. Cette affaire s’inscrit dans un contexte d’autant plus particulier que l’acquisition de cet immeuble s’était fait après les élections remportées par Bertrand Delanoë dans une politique nouvelle du logement social dans l’ouest Parisien.
Mais la vraie question est celle de la légitimité des HLM de Paris à louer ce type de logements.

Chantal Sayegh-Dursus

Publié par Blog J5 IICP 2007-2008_12/2007 à l'adresse   »

Lien hypertexte "Droit au logement opposable ":
http://www.servicepublic.fr/actualites/001373.html

 Celles qui ont retenu mon attention sont :





Le nouveau téléphone portable de Google, Nexus one qui sera commercialisé en Europe par Vodafone, à la fin du mois de mars. Il devrait faire de l’ombre à l’iPhone d’Apple

A écran tactile et  à activation vocale il permet de dicter le courrier et les SMS sur Internet.
Il pèse 130 gr et a  11,5 mm d’épaisseur. Son coût : 368 euros sans abonnement ou 124 euros avec un abonnement de deux ans avec T-mobile USA.

La Tablette Tactile iSlate d’Apple avec écran tactile, dont on pourra accéder à partir d’un compte iTune. Elle se présenteracomme un livre avec un écran de 10 pouces et sera équipée d’une Webcam. Ce sera un grand iPhone, mais avec une interface utilisateur beaucoup plus étendue. Elle devrai normalement être présentée aux USA le 26 janvier 2010, mais le prix de vente n’est pas encore connu.

La Visio- conférence avec grand écran qui devrait permette à Skype  [groupe précurseur de la téléphonie par Internet] d'augmenter ses ventes de façon significative. Économisant ainsi des Séminaires ou des Voyages d’Affaires onéreux.

Afin de booster les PC, arrive Ubuntu 9.10, qui complète Windows 7 ou Mac OS X.
Les apports de cette nouvelle application sont multiples. La gestion des pilotes est instantanée. Par contre la gestion de la messagerie par  Empathy, reste encore à améliorer, car elle provoque de nombreux bugs.